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L’introduction du coefficient de biotope.
L’avantage principal de ce coefficient est de chercher à concilier quantité et qualité, puisque l’indice sera calculé non seulement en fonction de la surface de la couverture végétale, mais également de la qualité du support.
Concrètement, les futures constructions et les réhabilitations importantes devront dorénavant intégrer un coefficient de végétalisation, ou coefficient de biotope… Deux zones de renforcement du végétal ont été définis pour l’application du coefficient de biotope avec des ratios différenciés 10 et 15 % d’espace végétaliser supplémentaires, en plus des 20 % de pleine terre exigeait auparavant, prescrit par la règle, article 13 du PLU. Cette démarche traduit plus qu’une simple volonté de compenser les carences en matière d’espaces verts et de végétation. Elle est l’expression d’une nouvelle appréhension du rôle de la place de la nature dans les paysages urbains. Le coefficient de Biotope devrait permettre un renouveau du dialogue que les concepteurs échanges, depuis des siècles, entre le minérale et végétale, entre la ville, ses habitants et la nature.
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